
Mme Godfroy-Ephrem Lambert (Alice Dumas)
Mme Lambert est la première présidente du Cercle de Fermières La Sarre, fondé en 1922. Bien qu’elle n’a que deux enfants, elle travaille beaucoup au magasin général que le couple possède, ouvert sept jours par semaine, du lever au coucher. Elle donne même les repas à certains de ses employés. Elle a peu de temps à consacrer à l’artisanat. Elle est aussi présidente des Dames de Ste-Anne. À la retraite, vers 1943, le couple déménage à Noranda et passe l’hiver en Floride, ce qui permet à madame d’avoir une meilleure qualité de vie compte tenu de sa santé plutôt fragile. C’est en Floride qu’elle décède et y est inhumée.
Source : Réal Lambert (petit-fils)

Mme Benjamin Demers (Anna Huot)
Madame Demers est présidente dans les débuts du Cercle. Avant le mariage, elle est enseignante. Mariée, elle donne naissance à un garçon. Plus tard, le couple adopte Élie Tourangeau et sa soeur dont le père est également pensionnaire chez les Demers. Malheureusement, leur fils décède à 28 ans. Madame travaille beaucoup; elle tient une maison de chambres et pension. Elle est très bonne cuisinière. Son habilité manuelle lui permet de faire du graphisme et réparer à peu près tout dans la maison. Elle est la première présidente des Dames de Ste-Anne.
Source : Micheline Martel (Arrière-petite-nièce)
Gérard Paradis (Résident à La Sarre depuis 1922)
Mme Adélard Pelletier (Alexandrina Carrier)
Étant fille Mme Pelletier est enseignante dans les Cantons de l’Est, à St-Fortunat, ensuite à La Sarre. Mariée, elle donne naissance à quatre enfants. Elle fait de la couture, crée même ses patrons. Elle tricote à l’aiguille, au crochet et fait aussi du tissage. Elle transmet son savoir à ses filles. Elle travaille au dépanneur, propriété du couple. De plus, elle fait la tenue des livres de l’entreprise que son mari exploite. Bien qu’elle soit une femme très occupée, elle consacre du temps à la présidence du Cercle de Fermières.
Source : Bernadette Pelletier (sa fille)
Mme Louis-Phillipe Bégin (nom de fille inconnu)
La Gazette du Nord nous donne ces informations suivantes : En 1937, à l’exposition des fermières, elle est présidente du Cercle. En 1941, une demoiselle Pauline Doré de Neuville vient lui rendre visite. Irène Cousineau a connu la famille Bégin qui était leur voisine. Madame Bégin était bonne cuisinière. Irène, étant amie d’enfance avec sa fille Colette, se souvient d’avoir dégusté quelques bons repas chez elle. Elle faisait parti du club féminin de bridge. Vers 1942, le couple quitte La Sarre avec leurs trois enfants.
Source : Gazette du Nord – Irène Fitzerald Cousineau

Mme Paul Bélanger (Blandine Gagnon)
Mme Bélanger donne naissance à neuf enfants. Elle travaille beaucoup. En couture, elle fait même les manteaux. Elle est aussi habile en broderie. Chaque automne, elle utilise la sertisseuse du Cercle pour mettre en conserve les légumes de son jardin. Elle travaille bénévolement au comptoir de linge usagé, appelé à l’époque « ouvroir ». Elle trouve le temps de lire; elle aime être informée sur différents sujets.
Source : Simone Bélanger Bordelau (sa fille)

Mme Gustave Rheault (Emma Blais)
N’ayant pu rejoindre des descendants de madame Rheault, les informations concernant cette présidente sont peu nombreuses. Madame Rheault touche un peu à la couture. Elle tisse des catalognes avec madame Gérald Fitzgerald. Elle est une excellente cuisinière. Passionnée pour les cartes, surtout le bridge, elle participe à l’activité hebdomadaire du club féminin de bridge composé de treize femmes.
Source : Irène Fitzgerald Cousineau

- Mme Odilon Hamel (Graziella Bédard)
Mme Hamel et son mari n’ont pu avoir d’enfant; alors ils décident d’en adopter deux. Elle fait de la couture et du tissage. Elle est aussi une bonne cuisinière. Sensible au sort des défavorisés, elle fait beaucoup de bénévolat pour eux. Elle travaille au comptoir de linge usagé (ouvroir) au sous-sol de l’église afin de procurer des vêtements aux personnes dans le besoin. Elle est plus attirée vers l’action sociale que l’artisanat.
Source : Aline Létourneau (sa nièce)

Mme Samuel Demers (Lydia Bordeleau)
Mme Demers donne naissance à six enfants et plus tard le couple élève trois orphelins. Elle met beaucoup de temps à l’artisanat pour les besoins de la famille. Le tissage est toute une corvée : avant de tisser, la laine des moutons est lavée, séchée, cardée, etc. Le grand métier de 90 pouces du Cercle de Fermières entre dans la maison pour un mois. Sa mère et sa fille, membre des Fermières, se joignent à elle pour faire le travail. La laine est tissée pour créer le tissus qui est envoyé à St-Pascal de Kamouraska pour le foulage. À son retour, ce tissu sert à confectionner des vêtements. De plus, les femmes taillent dans des vêtements usagés des lisières de tissu pour le tissage de catalognes. Mme Demers est aussi une bonne couturière; elle fait : robes de noces, robes de soirées, etc. Elle tricote à l’aiguille et au crochet. Bonne cuisinière, elle fait même des gâteaux de noces. Elle est présidente seulement un an, mais occupe de vice-présidente pendant sept ans. Elle est la première femme élue marguillère au conseil de Fabrique de la paroisse St-André de La Sarre. Elle est membre fondatrice du Cercle des Filles d’Isabelle et régente pendant plusieurs années à La Sarre.
Source : Madeleine Demers Letendre (sa fille)

Mme Simon Sylvestre (Éva Marcoux)
Mme Sylvestre est une bonne organisatrice d’activités telles que : parties de cartes, bingo, encan. Mme Désiré Fontaine (Bernadette Bégin) est surtout son assistante. Son jardin impeccable attire le regard des passants. Elle s’implique beaucoup dans l’organisation libérale de monsieur Alcide Courcy. Elle n’a pas d’enfant. Ses soeurs Anna et Ida habitent chez elle jusqu’à leurs derniers jours.
Source : Gérard Paradis

Mme Joseph Bélisle (Noémie Trudel)
Mme Bélisle et son mari élèvent trois enfants. Ils ont un petit hôtel avec chambres et pension au coin de la rue Principale et de la 8e Avenue. Madame, bonne cuisinière, consacre beaucoup de temps à leur commerce. Le couple décède assez jeune, avant que leurs enfants atteignent leur majorité, c’est-à-dire vingt ans.
Source : Gérard Paradis

Mme Théophitus David (Juliana Gagnon)
Mme David donne naissance à douze enfants. Habile couturière, elle les habille des pieds à la tête. Elle fabrique même des chaussures avec du feutre que ses soeurs lui envoient de Montréal. Aussi, elle est excellente cuisinière, reconnue pour son bon pain. Un jour, une amie lui rend visite. Elle lui montre son pain du matin encore tout frais. Elle ne le trouve pas assez beau pour l’apporter à l’exposition. Avant de partir, l’amie s’empare d’un pain, en cachette, le présente à l’exposition et gagne le premier prix. L’astuce tourne en risée puisque l’amie ne fait pas de pain. Mais cela prouve qu’il faut oser exposer nos pièces. Son petit-fils Réjean St-Pierre adore ses gâteaux et sa tête fromagée. D’ailleurs, madame David fait longtemps de la tête fromagée que son fils Bernard, commis-voyageur vend sur son parcours et dont les profits sont remis à des prêtres missionnaires, amis de Madame.
Source : Marie-Paule David (sa fille)
Réjean St-Pierre (son petit-fils)

Mme Auguste Jacob (Rose Roberge)
Mme Jacob est une couturière de grand talent. Elle confectionne la majorité des vêtements de ses quatre filles et deux garçons. Une année, à une exposition de Fermières, à Québec, elle présente un costume dont elle a dessiné le patron et confectionné dans du tissu provenant du lin cultivé sur sa terre. Elle rafle le premier prix dans cette catégorie. Plus tard, elle transforme ce costume qui devient un ensemble pour son petit-fils de quatre ans. Le recyclage, ça fait longtemps que ça existe. Elle fabrique aussi beaucoup d’uniformes pour les élèves du couvent, et ce, dans du tissu noir et épais; quel travail ardu! Ça lui permet d’arrondir ses fins de mois.
Source : Margot Jacob Dor (sa fille)

Mme Edmond Gagnon (Jeanne Côté)
Mme Gagnon fait de la couture pour ses dix enfants quand ils sont jeunes. Elle est bonne cuisinière. Elle s’implique surtout au niveau social; elle est très disponible dans les activités de différents organismes paroissiaux. Elle quitte la région vers 1962-63.
Source : Marc Gagnon (son fils)

Mme Ephrem Hamel (Jeannette Racicot)
Mme Hamel donne naissance à huit enfants. Elle utilise donc ses talents en couture, tricot et tissage pour répondre aux besoins de sa famille. Vers l’âge de soixante-douze ans, elle quitte La Sarre pour aller vivre à Québec près de ses enfants.
Source : Aline Létourneau (sa nièce)

Mme F-X Martel (Marie-Anna Couture)
Mme Martel donne naissance à onze enfants. Elle fait du tricot à l’aiguille et du crochet. Entre autre, elle confectionne des rideaux au crochet. Elle est bonne cuisinière. Au temps des fêtes, elle reçoit tous ses enfants et petits-enfants et fait un cadeau à chacun. Elle aime faire plaisir.
Source : Simone Bélanger Bordeleau

Mme Alfred De la Chevrotière (Irène Dumoulon)
Mme De la Chevrotière donne naissance à sept enfants. Résidente d’abord de Lotbinière, elle est membre du Cercle de cet endroit. Elle fait de la couture et du tricot pour ses enfants. Elle y cultive un potager. La famille arrive à La Sarre en 1940. Plus tard, les enfants grandissant, elle fit peu d’artisanat. En 1967, le couple retourne demeurer à Lotbinière.
Source : Marcel De la Chevrotière (son fils)

Mme Alfred Duquette (Maria Bolduc)
Mme Duquette fait de la couture pour ses sept enfants. Elle s’implique plutôt au niveau social dans différentes causes. Elle donne des cours aux enfants du primaire en français et en mathématique.
Source : Sylviane Trudel Duquette

Mme Josaphat Gamache (Georgette Boily)
On a peu d’information concernant cette fermière. On sait qu’elle a eu plusieurs enfants. Elle a fait du tissage avec madame Ernest Lachance.
Source : Micheline Lachance Thiboutot

Mme Ernest Lachance (Anne-Marie Pomerleau)
Mme Lachance est présidente du Cercle de Fermières de 1962 à 1969. C’est une personne très vaillante, très généreuse, ayant de la difficulté parfois à dire non. Elle fait beaucoup de couture pour elle-même et ses quatre enfants ainsi que du tissage. Elle vend même une de ses couvertures à Pauline Julien. Elle fait aussi du tricot à l’aiguille et au crochet ainsi que de la broderie. Elle confectionne presque toutes les pièces demandées par le provincial pour les expositions. Très bonne cuisinière, elle fait de la pâtisserie pour la boulangerie Centrale. Elle est parfois traiteur pour certaines personnes et prépare des banquets. Elle travaille dans l’organisation libérale de M. Courcy. Les gens se souviennent de cette femme très dévouée.
Source : Micheline Lachance Thiboutot (sa fille)

Mme Aurore Comeau Touzin
Mme Touzin est présidente suppléante en 1969 et présidente élue de 1977 à 1983. Mère de quatre enfants, elle fait de la couture, du tricot à l’aiguille et au crochet, du tissage et de la broderie. Elle adore bricoler. C’est aussi une bonne cuisinière. Chaque automne, elle met en conserves les légumes du jardin que son mari cultive. Pendant six ans, elle donne un avant-midi/semaine en secrétariat, au presbytère de La Sarre. C’est une femme généreuse et très disponible aux autres.
Source : Aurore Comeau Touzin

Mme Lucie Noël Fillion
Mme Noël est présidente de 1970 à 1973. Elle fait de la couture pour ses quatre enfants en bas âge. Elle est responsable dans l’organisation de plusieurs soirées du mardi-gras qui ont lieu l’hôtel La Sarre. Cette activité permet de ramasser des fonds pour les besoins du Cercle. Elle exploite pendant plusieurs années un dépanneur. Après la vente de celui-ci, le couple quitte la région pour vivre à Québec. Elle y demeure encore aujourd’hui, près de ses enfants.
Source : Lucina Fillion Noël

Mme Raymonde Veillette
Mme Veillette est d’abord fermière et ensuite présidente du Cercle de St-Vital. Plus tard, elle adhère au Cercle La Sarre et accède à la présidence de 1973 à 1977. Petite fille, elle est attirée par l’artisanat; elle utilise la machine à coudre de sa mère pour faire des vêtements à sa poupée. Célibataire, elle travaille comme commis au magasin 5-10-15 de La Sarre. Ensuite, elle enseigne pendant une dizaine d’années, avant et après mariage. Elle donne naissance à cinq filles. Elle fait beaucoup de couture, du tricot à l’aiguille et au crochet, de la broderie et du tissage. Après avoir suivi des cours en couture, elle transmet ses connaissances à d’autres femmes. Elle confectionne de jolies cartes avec des fleurs séchées. Mme Veillette s’implique aussi bénévolement dans plusieurs organismes tels que : Auxiliaires Bénévoles de l’hôpital, Filles d’Isabelle, Croix-Rouge, au niveau pastoral, secrétaire à la Fédération. Elle se dit chanceuse puisqu’elle réalise tous ses rêves.
Source : Raymonde Veillette

Mme Aurore Morin
Mme Morin est présidente de 1983 à 1985. Elle fait surtout de la couture pour habiller ses enfants et en fait aussi pour elle-même. Après avoir quitté la présidence, elle retourne sur le marché du travail pour une vingtaine d’années. Elle fait du bénévolat dans l’Arc-en-soi. Maintenant à sa retraite, elle en profite pour faire de la peinture, de la marche et de la natation pour se garder en forme.
Source : Aurore Morin Bilodeau

Mme Mariette Marcotte Ricard
Mme Marcotte est présidente de 1985 à 1989. Elle fait du tricot à l’aiguille et au crochet. Une année, avant les fêtes, elle montre aux fermières la confection des décorations de Noël au crochet. Elle fait de la couture pour ses quatre enfants et plus tard pour ses petits-enfants. Vers 1985, avec madame Berthe Lacoursière, elle met sur pied l’activité de la tire Ste Catherine, qui permet de ramasser des fonds pour le Cercle. Pendant 19 ans, elle est coiffeuse pour les personnes du foyer de l’Âge d’Or. Environ trois années consécutives avant Noël, elle organise un après-midi de divertissements pour ces personnes, suivi d’une remise de cadeaux et d’un goûter préparés par les fermières.
Source : Mariette Marcotte

Mme Lisette Côté
Mme Côté est présidente de 1989 à 1995 et aussi de 2001 à 2007. Ces douze années à la présidence nous montrent sa grande générosité et son amour pour ce mouvement. Elle fait de la couture pour ses deux enfants, son mari et elle-même. Entre autre, elle prend un mois pour se confectionner un manteau de suède (genre patchwork) avec fourrure dont elle dessine le patron. Elle travaille pour l’organisation de François Gendron, notre député. À 40 ans, elle retourne aux études au Cégep, obtient un dîplôme en gestion financière et travaille par la suite en publicité pour CK-munautaire. Elle cumule plusieurs tâches à la fois. Pendant une quinzaine d’années, elle est responsable de l’organisation des corvées de la tire Ste-Catherine en vue de recueillir des fonds pour le Cercle. Elle est secrétaire-trésorière à la Fédération de 1980 à 1987. Elle est membre du comité en relations publiques au provincial pour deux ans. Elle acquiert une station-service et l’opère pendant douze ans. Elle adore la lecture et réussit à trouver du temps pour s’y adonner.
Présidente du cercle de La Sarre depuis 2009
PSource : Lisette Côté

Mme Jeanne Boissé Cliche
Mme Boissé est présidente de 1995 à 2001. Toute petite fille, elle est attirée par les belles pièces artisanales de sa mère et celle-ci est heureuse de lui montrer à tricoter des bas à neuf ans et elle réussit bien. Elle apprend même à tisser à cet âge; elle travaille avec sa soeur sur le grand métier. Étant fille, elle travaille comme bonne dans des maisons privées, dans une auberge, femme de chambres. Après trois années de mariage, le couple n’ayant pas d’enfant, en adopte trois. Il acquiert un dépanneur et madame Boissé y travaille pendant cinq ans. Après la vente de celui-ci, elle en profite pour faire de l’artisanat à grande échelle. Elle confectionne des pièces de toutes sortes. Au métier à tisser, elle fait : nappes, napperons, tapis, linges à vaisselle, couvertures, catalognes, etc. En couture, elle fait tabliers, mitaines de four, vêtements, etc. Elle fait aussi du tricot à l’aiguille, un peu de crochet, de la broderie, et surtout de la courte-pointe car elle veut laisser une pièce aux salons des métiers d’art ou chez elle. Ce travail lui donne un revenu d’appoint servant à payer les études de ses enfants. Membre fermière depuis trente-sept ans, elle a toujours le grand désir de partager ce qu’elle sait aux autres. Elle garde en mémoire la devise de sa mère : «Tout ce qui mérite d’être fait, mérite d’être bien fait.»
Source : Jeanne Boissé Cliche

Mme Claudette Camirand
Mme Camirand est présidente de 1999 à 2001. Avant d’adhérer au Cercle à La Sarre, elle est membre du Cercle de Dupuy en 1980 et ensuite celui de Rouyn. Après ses études secondaires, elle travaille, cinq ans, préposée aux bénéficiaires en Ontario où elle apprend l’anglais. D’autres retours aux études lui permette de travailler comme secrétaire réceptionniste, de direction médicale. Elle travaille au commerce de viande au détail que le couple opère pendant cinq ans. Elle suit des cours de toutes sortes : couture, tricot à l’aiguille et au crochet, broderie, peinture, piano, chant et les met en pratique. Elle trouve le temps de confectionner beaucoup de vêtements pour ses deux fils en bas âge et pour elle-même. Elle s’implique bénévolement au niveau paroissial et dans l’organisme «La bouée d’espoir» qui vient en aide aux proches ayant des personnes atteintes de maladie mentale. Amoureuse du chant, elle fait partie de plusieurs chorales. Elle fait partie d’une équipe de quilles et aime la lecture.
Source : Claudette Camirand

Mme Micheline Hince
Mme Hince est présidente du Cercle de 2007 à 2009. Après son mariage, voyant sa belle-mère confectionner de belles pièces avec sa machine à coudre, elle dit à son mari : «Il faut que tu m’achètes une machine à coudre». Marché conclu, elle débute en couture et réussit bien; elle a même un costume qui remporte un deuxième prix à l’exposition provinciale. Elle confectionne des vêtements pour ses trois enfants et pour elle-même, surtout lors de mariage, Noël, événements spéciaux. Elle participe aux ateliers des fermières où elle apprend le tricot à l’aiguille et au crochet, un peu de broderie et elle le met en pratique. Elle fait aussi du tissage. Elle est bonne cuisinière. Elle expose souvent à la Fédération les pièces demandées au provincial. Elle est toujours disponible pour aider ses parents et beaux-parents âgés lorsqu’ils en ont besoin.
Source : Micheline Hince
( voir plus haut)
Lisette Côté lui succède et elle est notre présidente en 1214
Nos remerciements à Marie-Irène Doire pour cette recherche qui nous permet de vous présenter ce beau document historique. Bravo et merci à Marie-Irène et ses collaborateurs pour ce travail colossal qui selon tes dire t’a procuré beaucoup de plaisir.
Les photos des présidentes sont dans le PPS préparé par Sylviane et Jean-Paul Petit et présenté à la soirée du 85e
Sylviane Trudel Duquette